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Formulaire de contribution au texte "Départementales, régionales : La France insoumise appelle à des programmes communs"

Réponses 21 — 40 sur 239


1 septembre 2020 19:58
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-*mobilsée : corriger en mobilisée - Service public de l'eau : rappeler les enjeux liés à la sécheresse et au réchauffement climatique qui imposent la nécessité d'un meilleur partage de la ressource - les Régions doivent, en collaboration avec les collectivités, reprendre la main sur la gestion des déchets et soutenir financièrement les approches prônant le zéro déchet. - Rappeler l'opposition à la mise en concurrence et privatisation des lignes de TER - Soutien des régions au plan vélo - En matière d'aménagement du territoire, opposition aux grands projets inutiles et à l'artificialisation des sols.

1 septembre 2020 20:11
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Concernant la Bretagne Il faut absolument parler des algues vertes du travail à mettre en place avec les agriculteurs. Il faudra aussi nécessairement parler de la langue bretonne. Lors des municipales notamment à Quimper nous avons réussi à travailler avec la gauche bretonne. Merci

1 septembre 2020 20:17
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Je voudrais donner une priorité au référendum d'initiative populaire et à la possibilité de révoquer un élu

1 septembre 2020 20:24
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Texte parfait, juste évitez les sigles. Merci

1 septembre 2020 20:32
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En suggestion rapide, je voudrais proposer un slogan, simple, mais qui me semble convenir au mouvement dans ses idées, et en partie à son histoire. Ce serait simplement "La vie d'abord !". Ce slogan signifierais à mon sens plusieurs choses, tel que notre défense de l'environnement et de la biodiversité, mais aussi celle des hôpitaux et services publiques (c'est le titre d'un reportage dans ces milieux). C'est également en opposition direct avec l'idée que les profits priment sur tout, et ce dilemme qu'affrontent nos entreprises. Il est suffisamment large pour que chacun puisse s'y identifier, et peut servir de maximes ou de leitmotiv qui reste facilement dans les mémoires.

1 septembre 2020 20:42
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Je souhaite la suppression de la phrase " La pandémie menace d’une seconde vague" car cela ne correspond pas à la réalité objective. Il n'appartient pas à la Fi de faire état d'une hypothèse contestée par les spécialistes les plus reconnus des maladies infectieuses. Cela n'apporte rien au texte bien au contraire cela encourage la campagne médiatique d'affolement de la population. Affolement qui est utilisé par le pouvoir pour renforcer l'autoritarisme et restreindre les libertés.

1 septembre 2020 20:42
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Création de lieux de rencontre pour les hommes, pour les femmes et mixtes, là où c'est possible, dans les villages, les communes etc...Faire remonter les conclusions de ces rencontres, par voies de presse, radio locales et régionales. Créations de groupes dynamiques, libres de paroles et d'actes. Susciter l'expression profonde de chacun et non des généralités réflexes basés sur des imaginations politiques établies.

1 septembre 2020 20:43
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Bonjour /voici mes contributions ***Le changement climatique est engagé. La pandémie menace d’une seconde vague*** === Le changement climatique est engagé. La pandémie n'est peut-être pas encore finie === *** Il est certain que ce programme n’est pas compatible avec certaines des orientations que développent les partis de la gauche traditionnelle.*** === Ce programme n’est pas compatible avec certaines des orientations que développent des partis de la "gauche" réformiste et libérale *** C’est pourquoi le moment venu, aux élections présidentielles et législatives, les électeur·ices décideront quelles orientations pour finir ils et elles veulent voir mettre en œuvre a la tête du pays.*** === C’est pourquoi, aux élections présidentielles et législatives, les électeur·ices doivent avoir le choix entre la "gauche" libérale et ceux qui feront bifurquer la société. LE RESTE ME VA TOUT A FAIT MERCI !!! EL PUEBLO UNIDO JAMA SARA VINCIDO

1 septembre 2020 20:58
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Reprendre la formulation de Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission "Questions politiques" du 30/08/2020 et finir le texte par "des programmes anticapitalistes de rupture sociale, écologique et démocratique dans les départements et régions du pays." Cette formulation est aussi en cohérence avec la position défendue par Éric Coquerel lors de la conférence "Fédération populaire ou union de la gauche ?" aux Amfis, et son intervention le lendemain aux Universités d'été du NPA.

1 septembre 2020 20:59
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Reprendre la formulation de Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission "Questions politiques" du 30/08/2020 et finir le texte par "des programmes anticapitalistes de rupture sociale, écologique et démocratique dans les départements et régions du pays." Cette formulation est aussi en cohérence avec la position défendue par Éric Coquerel lors de la conférence "Fédération populaire ou union de la gauche ?" aux Amfis, et son intervention le lendemain aux Universités d'été du NPA.

1 septembre 2020 21:05
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"La pandémie menace d’une seconde vague". Au vu de la gestion calamiteuse de la crise du covid par les autorités centrales et de la méfiance induite auprès des populations, il conviendrait d'être plus neutre dans la formulation, soit supprimer cette phrase, soit remplacer "menace" par " menacerait".

1 septembre 2020 21:13
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"démocratisation de la vie associative en stoppant la logique de soumission des associations aux critères du marché" Par des incitations (via la modulation des subventions), amener à ce que les associations reconnues 1) incluent dans leurs statuts une charte de la Laïcité 2) s'efforcent de faciliter l'intégration en leur sein de populations fragilisées (étrangers, précaires, etc...)

1 septembre 2020 21:16
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Trois suggestions : - Promouvoir le RIC, même restreint. - Cesser d'emboîter le pas du gouvernement quant à la "seconde vague" du Covid. - Ne plus favoriser l'accumulation de richesses en achetant nos livres chez de vrais libraires indépendants (plus de liseuses). Larbi benBelkacem

1 septembre 2020 21:17
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Les départements et les régions ont en charge la construction respectivement des collèges et des lycées: les élus doivent privilégier les constructions et structures écologiques (toits et/ou murs végétalisés, basse consommation, éventuellement producteurs d'une partie de leur énergie, etc...).

1 septembre 2020 21:23
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Bonjour, Au paragraphe :"D’engager la bifurcation écologique en refusant.........." Il serait bon d'ajouter le refus de la privatisations des barrages hydroélectriques, qui se trouvent........dans les régions et départements. Cordialement

1 septembre 2020 21:28
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Je crois qu'il convient d'identifier clairement le système dans lequel nous baignons: il ne s'agit pas de "libéralisme", mais de "néo-libéralisme" qui n'est pas un simple ravalement de façade ou une actualisation dudit libéralisme, mais un système totalisant qui réduit l'individu à un "homo economicus" c'est-à-dire un élément et cible du marché et non plus un citoyen responsable et libre, qui réduit la démocratie à un processus de désignation d'experts et de débat à minima sur des sujets annexes et non-fondamentaux. Avec pour conséquence l'amenuisement du rôle des départements pour y substituer d'un côté le pouvoir de métropoles et de l'autre la région Donc remplacer partout où c'est possible dans le texte le mot "libéralisme" par " néo- libéralisme"; et favoriser toutes mesures qui dévalorisent l'échelon départemental et les communes souveraines.

1 septembre 2020 21:38
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Bonjour. Je pense qu'il est inutile de rappeler une éventuelle seconde vague et parler de masques gratuits dans les projets locaux... Une il semble que d'après plusieurs médecins et expert qui ne le sont pas moins que d'autres, il n'y a pas de seconde vague... La FI se coupe d'une parti de son électorat en continuant obstinément à aller dans le sens de cette crise sanitaire qui aujourd'hui est voulue voir même volontairement exagérée par le pouvoir en place. Ca n'est pas faire le jeu des complotiste que de douter ! c'est même une des qualité qui me fait adhérer à l'Avenir en commun et à la FI, continuer de douter de tout !!! Donc n'organisez pas la perte en masse d'électeurs à cause d'une stratégie politique mal amenée... vous allez droit dans le mur si vous vous reprenez pas vite. Je suis FI de la première heure mais jamais je n'irais voter pour une liste qui met en avant dans sa campagne la pandémie et son risque de second vague et la gratuite des masque en 2021 qui voudrait dire que vous pariez sur cela jusqu'en 2021... c'est une très grande erreur à mon avis.

1 septembre 2020 21:39
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La 2eme vague de la pseudo pandémie et à éviter au maximum..! Je n'ai même plus envie de lire la suite On nous prend pour des lapins de 6 semaines, il faud vraiment arrêter avec ce sentiment de peur...! Ça saoule !!!

1 septembre 2020 21:45
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Bonjour, en lisant le texte et les contributions, 2 idées d'apport me sont venus: - concernant le RSA (et les allocations sociales en général), je pense qu'il serait bienvenu de constituer une coalition de départements en faveur de leur renationalisation. A part satisfaire l'envie de pouvoir et de budget des présidents de département, la décentralisation des allocations sociales ne me semble avoir apporté que des changements négatifs - je pense que le texte devrait davantage mettre l'emphase sur les collèges et les lycées. C'est une compétence majeure des deux collectivités et je pense qu'elle pourrait faire beaucoup pour y favoriser la vie sociale et l'engagement dans les syndicats lycéens, les MDL, les différentes fonctions électivres ou encore la création d'associations écologistes, féministes ou autres au sein des établissements. Ce pourrait être l'occasion d'effectuer des avancées majeures dans la bataille culturelle et sociale contre le néolibéralisme et l'extrême-droite

1 septembre 2020 21:51
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Je vous avoue que j'ai du mal à qualifier ma contribution à ce texte, en effet, comment pourrais-je, structurer, formaliser un manifeste, permettant de faire valoir une préoccupation, certes, personnelle, mais surtout relative aux problématiques de plus en plus fréquentes, que je rencontre au quotidien et ceci, dans mes tentatives de solutionner des démarches administratives, trop souvent rendues compliquées, par nos propres institutions de gestion de missions auprès des particuliers ? Lors de mes multiples tentatives d'échanges, de partage, voire d'écoute, concernant les récits de nombreuses situations de dysfonctionnements de nos institutions à l’égard des personnes faisant valoir leurs droits sociaux …. (Dans tous les services publics œuvrant dans le cadre juridique, stipulé et concerné par l’Art. R. 114-9-3 du décret mentionné ci-dessus), que je règle chaque jour, des litiges générés par le manque de professionnalisme de la part de nos agents des services publics. Du fait, de la généralisation de la communication sous forme électronique, par le biais de traitements automatisés, assurant certes, la traçabilité des échanges, mais certainement pas l’assurance d’un traitement humanisé, les personnes socialement isolées, qui n’ont pas accès à l’outil informatique, ne répondent pas à toutes ces dématérialisations des démarches. Ce public, « l’administré » est trop souvent verbalisé, plutôt que considéré, tenant compte du fait, que dans leurs obligations et/ou missions d’agents de services publics, ils sont si démotivés, qu’ils en deviennent arrogants, indifférents, voire coercitifs, envers des administrés qui doivent fournir de plus en plus de justificatifs, (justifications), qui ne répondent de moins en moins à des obligations et/ou exigences, toujours de plus en plus complexes, mais qui sont que très rarement, expliquées, motivées et/ou orientées, par des principes de communications adaptées aux situations particulières qui peuvent survenir lors des demandes formalisées par ces administrés. Le fondement de la notion de service public est, où plutôt, devrait que certaines activités sociales considérées comme essentielles et stratégiques doivent être gérées selon des critères spécifiques pour permettre un accès à tous et contribuer à la solidarité et à la cohésion sociale, culturelle et économique de la société. Ces activités doivent donc échapper à la logique du marché et à la recherche du profit. C'est le cas, en particulier, lorsque sont nécessaires : • Des investissements lourds non rentables à court terme, • Une gestion à long terme, • La sauvegarde d'un bien rare et précieux, • La gestion d'un espace. Les trois grands principes auxquels sont soumises les missions de services publics sont la mutabilité (capacité d'adaptation aux conditions et aux besoins), l'égalité (dans l'accès au service et dans les tarifs) et la continuité. Le service public apparaît encore aujourd’hui comme une fonction clé de l’Administration, c’est-à-dire de l’ensemble des structures publiques ou privées chargées d’accomplir des activités d’intérêt général. Cependant, comme le mot administration, l’expression service public revêt plusieurs sens. Elle désigne d’une part, une activité ou une mission d’intérêt général, (ex : service public de l’enseignement, gestion des infrastructures de réseau, ramassage des ordures...) et, d’autre part, l’ensemble des organismes en charge de ces activités d’intérêt général et qui peuvent être aussi bien publics que privés, (ex : sociétés d’autoroutes). On passe ainsi « du » service public « aux » services publics. Au risque, d'encombrer vos réflexions, voire vos préoccupations électorales, j'ai juste profité d'une passerelle collaborative, pour amorcer une réflexion solidaire.